Pourquoi souscrire à une assurance voyage ?
Lorsque vous partez à l’étranger, vous multipliez les risques de contracter une maladie ou d’être victime d’un autre sinistre. Rassurez-vous, ce type de désagrément peut être pallié par la souscription à une bonne assurance voyage.
Une bonne assurance voyage permet de partir en toute quiétude
Les aléas surviennent pendant les déplacements internationaux. Afin de ne pas s’exposer à des risques inutiles, il convient de souscrire à une assurance voyage. Cette protection vous couvre pour de nombreux imprévus. Elle inclut généralement une garantie contre les annulations. Explication : si vous ne pouvez pas embarquer à cause d’une hospitalisation ou du décès d’un proche, l’assurance se charge de rembourser le prix du billet. L’annulation suite à un licenciement peut aussi être remboursée. La liste des causes acceptées est établie à l’avance.
Les garanties couvrent la santé du voyageur et bien plus
Une assurance voyage couvre plusieurs volets. Cela commence par la santé. Le voyageur peut compter sur son assureur pour lui rembourser les frais médicaux engagés à l’étranger. Lui et sa famille bénéficieront de ce service. La prestation inclut la consultation, les médicaments, l’hospitalisation ainsi que d’éventuel rapatriement en France ou évacuation vers un autre pays. En plus des dépenses sanitaires, la compagnie d’assurance couvre aussi d’autres sinistres. Elle dédommage les victimes en cas d’accident impliquant la responsabilité civile d’un assuré.
Les sinistres survenus à l’étranger coutent cher
A l’exception de quelques pays, l’assurance voyage reste facultative. Ceci dit, elle reste fortement recommandée. A l’étranger, vous pouvez payer jusqu’à plusieurs milliers d’euros pour soigner un simple rhume. La facture sera encore plus salée pour une fracture du tibia ou une appendicite. De plus, certains hôpitaux refusent tout bonnement de soigner les patients qui n’ont pas d’assurance voyage valide. Le seul moyen de s’en sortir serait de payer les dépenses médicales de sa poche. Cela reste plus facile à dire qu’à faire.